En apparence, le prurit associé à une insuffisance rénale chronique, anciennement appelé prurit urémique, n'est qu'une simple démangeaison. mais pour les patients qui vivent avec ce symptôme, les conséquences sont bien plus lourdes.1–6

Parcourez les pages suivantes pour découvrir comment le prurit associé à l'IRC peut nuire à la qualité de vie, à la santé mentale et même à l'espérance de vie de vos patients.1–6

Vos patients
souffrent-ils en
silence ?
Le prurit associé à l'IRC affecte 67 % des patients hémodialysés, 37 % d'entre eux se déclarant modérément à extrêmement gênés par ce symptôme.6

Découvrez la prévalence et la physiopathologie du prurit associé à l'IRC.

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« Il arrive que mes démangeaisons
soient trop fortes, et je me dis que c'est
vraiment insupportable à ce moment-là. »

- Patient sous hémodialyse atteint de prurit associé à l'IRC, Allemagne

Lorsque le prurit associé à l'IRC devient plus qu'une simple démangeaison
Une démangeaison qui peut
faire basculer une vie

Les patients atteints d'IRC et hémodialysés souffrent déjà d'une mauvaise qualité de vie, qui est exacerbée par le prurit associé à l'IRC.1–3 Découvrez comment le prurit associé à l'IRC peut nuire à la qualité du sommeil, aux relations sociales et à la santé mentale de vos patients hémodialysés.

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« Je me gratte tout le temps, c'est plus fort que
MOI. JE NE PEUX PAS DORMIR LA NUIT PARCE QUE ÇA DURE Vingt-quatre heures sur vingt-quatre. »

- Patient sous hémodialyse atteint de prurit associé à l'IRC, Royaume-Uni

L'incidence du prurit associé à l'IRC ne se voit pas au premier abord
L'incidence du prurit
associé à l'IRC ne se voit pas
au premier abord

Le prurit associé à l'IRC peut avoir une incidence grave sur l'état de santé et entraîner une prise de médicaments plus importante.1,5,6 Il faut creuser un peu pour découvrir les conséquences du prurit associé à l'IRC.

a

« Parfois, je pourrais me gratter jusqu'à en crever. »

– Patient sous hémodialyse atteint de prurit associé à l'IRC, Australie/p>

Options thérapeutiques
La prise en charge du prurit associé à l'IRC : un défi à relever

La prise en charge du prurit associé à l'IRC devrait être un élément essentiel du traitement de tous les patients hémodialysés et souffrant de ce symptôme.8 Aidez vos patients à faire des choix éclairés sur leurs options de traitement du prurit associé à l'IRC.

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« Le véritable défi a été de trouver le traitement qui me convient »

- Patient sous hémodialyse atteint de prurit associé à l'IRC, Australie

Sources et notes de bas de page
Sources
  1. Ramakrishnan K, Bond TC, Claxton A, et al. Clinical characteristics and outcomes of end-stage renal disease patients with self-reported pruritus symptoms. Int J Nephrol Renovasc Dis. (2013);7:1–12.
  2. Shirazian S, Aina O, Park Y, et al. Chronic kidney disease-associated pruritus: impact on quality of life and current management challenges. Int J Nephrol Renovasc Dis. (2017);10:11–26.
  3. Tsai YC, Hung CC, Hwang SJ, et al. Quality of life predicts risks of end-stage renal disease and mortality in patients with chronic kidney disease. Nephrol Dial Transplant. (2010);25:1621–1626.
  4. Pisoni R, Wikström B, Elder S, et al. Pruritus in haemodialysis patients: international results from the Dialysis Outcomes and Practice Patterns Study (DOPPS). Nephrol Dial Transplant. (2006);21:3495–3505.
  5. Narita I, Alchi B, Omori K, et al. Etiology and prognostic significance of severe uremic pruritus in chronic hemodialysis patients. Kidney Int. (2006);69(9):1626–1632.
  6. Sukul N, Karaboyas A, Csomor P, et al. Self-reported pruritus and clinical, dialysis-related, and patient-reported outcomes in hemodialysis patients. Kidney Medicine. (2020);3(1):42–53.e1.
  7. Yosipovitch G, Zucker I, Boner G, et al. A questionnaire for the assessment of pruritus: validation in uremic patients. Acta Derm Venereol. (2001);81:108–111.
  8. Millington G, Collins A, Lovell C, et al. British Association of Dermatologists’ guidelines for the investigation and management of generalized pruritus in adults without an underlying dermatosis, 2018. Br J Dermatol. (2018);178(1):34–60.